
Un cauchemar, tapi dans le noir, terrorise un enfant. Résolu à n'en faire qu'une bouchée, il le menace, de plus en plus terrifiant. Jusqu'à ce que l'enfant se réveille en pleurant, et se fasse rassurer et câliner par ses parents. C'est bien connu : les câlins réduisent les cauchemars à néant.
Très bien écrit, quatre vers en rimes, le dernier qui revient : « Je suis le cauchemar ! », de plus en plus fort, de plus en plus menaçant, Je suis le cauchemar se prête à merveille à la lecture à voix haute : Rythmé,...
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