
Il y a des livres qu'on a plaisir à simplement tenir dans la main. Vladimir et Clémence est de ceux là. Sa belle couverture cartonnée au papier mat, ses illustrations délicieusement désuètes, son format imperceptiblement plus grand et plus fin que celui d'un roman, plus compact et épais que celui d'un album. L'équilibre parfait.
Et hop, il suffit d'en parler pour que je le tripote à nouveau, avec autant de plaisir. Non, vraiment, ce serait une regrettable erreur que de vouloir lire un tel roman sur tablette, tant samise en page,...
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