
Attention, vous avez bien lu, cet imagier est fou. C'est même « le plus fou du monde » nous annonce le titre. En conséquence, il est désordonné et fantaisiste dans sa structure même. Les catégories suivent davantage une certaine poésie qu'une logique de catalogue. A travers un voyage dans la vie d'Otto, charmant petit animal, on passe de « Enfin l'été » aux « Divines Douceurs » puis à « Vroum vroum ». La composition graphique varie au gré des possibilités. Ici les éléments sont...
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