
Au premier chant du coq, le chevalier de Ventre-à-terre ouvre un œil et s'exclame : « Pas une minute à perdre ! Pas une minute à perdre ! ».
Branle-bas de combat, c'est la trépidante vie de chevalier. Ni une, ni deux (ni trois, ni quatre), il se prépare en vitesse (réduite), règle quelques affaires pressantes (en prenant le temps), enchaîne les préparatifs en vitesse (mais sans précipitation), et se rue au combat. Car l'heure est grave : c'est le carré de fraisier qui est en jeu, envahi...
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